Algérie, Alger : l'enseignement
L'Institut d'Études Nucléaires de l'université d'Alger
avec les chercheurs algérois de l'atome
L'accélérateur Van de Graaff

Notre cité peut s'énorgueillir de cette nouvelle et magnifique réalisation, témoignage moderne de haute civilisation. Voici, par d'éminents spécialistes, l'exposé des activités du nouveau Centre nucléaire. Texte technique, aride certes pour beanconp, mais dont l'incontestable valeur documentaire ne saurait être méconnue.
mise sur site le 20-9-2007
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(schéma)Protégé par d'épaisses couches de béton, l'accélérateur est compartimenté en trois salles, reliées par des labyrinthes de sécurité.
NIVEAU SUPÉRIEUR. Avant la mise en fonction qui oblige à l'évacuation du personnel, ultimes vérifications dans la salle de l'accélérateur. Afin d'éviter tout claquage par étincelles, l'accélérateur (énergie 3 millions d'électrons-volts) est enfermé dans cette grande cloche remplie d'un mélange d'azote et de gaz carbonique à 20 atmosphères.

Au centre. La salle d'irradiation (avant fonctionnement). Venant de l'accélérateur par le tube vertical du premier plan, les protons accélérés passent par un spectromètre magnétique (en forme de losange) qui régularise leur énergie avant de les envoyer dans l'appareillage complexe des expériences.

Le poste de commande, protégé par une épaisseur de béton de 1 m 20, de la salle d'irradiation. Durant une expérience, installé devant un pupitre de commandes et de contrôles à distance l'opérateur surveille par périscope le spectromètre magnétique
L'accélérateur Van de Graaff