Couverture de l'ouvrage
Couverture de l'ouvrage

Le port d'Alger
Tempêtes et ressac à l'assaut du port
Octobre 2007
Edgar SCOTT I / Joseph PALOMBA.

Ouvrage adressé par MM.Joseph PALOMBA et Edgar SCOTTI, avec autorisation de paraître ici.
sur site le 26-2-2008

101 Ko
retour
 
Clic, clic! sur les vignettes = images plus grandes
Lire sur ce site, des mêmes auteurs : les désastres du ressac

INTRODUCTION

Ce petit Mémoire, écrit sans aucune prétention, veut simplement évoquer ce qu'était le port d'Alger avant et après le venue des français en 1830, sur cette terre africaine. Il veut aussi rendre un fervent hommage à tous ceux qui ont aimé ce port, pour lequel beaucoup d'entre eux ont sacrifié une partie de leur vie.

De nombreux auteurs ont fait une description dithyrambique du port d'Alger incrusté dans l'azur de son golfe, enchâssé dans une ville blanche en amphithéâtre, sans se douter, que des hommes, aujourd'hui disparus, furent à l'origine de la réalisation de ce port magnifique encore ouvert aux navires du monde entier. Port qui atteste, si besoin, l'oeuvre civilisatrice de la France dans ce pays. Il est vraiment regrettable qu'à ce jour, des hommes se disant français, s'élèvent contre une loi promulguant " la reconnaissance du rôle positif de la présence française en Algérie " .

Connaissent-ils seulement ce pays ? Une visite objective de son littoral pourrait leur permettre de rectifier ce jugement !

Avant de poursuivre le récit de ce mémoire, les auteurs tiennent, sans que ce soit un oubli, à s'excuser auprès de toutes les personnes qui seront concernées par ce récit dont le nom ne paraîtra pas dans le texte.

Tous ceux qui eurent des aïeux parmi ces hommes pourront reconnaître les leurs : chercheurs, marins de commerce ou de la pêche, pêcheurs de chalutiers ou de lamparos, charpentiers de marine et bien d'autres.

Ils pourront alors compléter ou développer le souvenir de ceux dont les ouvrages, les compétences, imprègnent encore les côtes d'Algérie !

Les Auteurs.

DES EVENEMENTS ET DES HOMMES

Avant la venue des Français en 1830, la darse d'El-Djézaïr, de dimension restreinte servant de port, n'était qu'une concentration d'îlots de roches épars, dont un sur lequel les Espagnols avaient bâti un fortin appelé " Pénon ".

Quoique reconnue comme étant la plus mauvaise des rades de la Régence, elle servait depuis des décennies à la puissante confédération des Raïs, pour mettre à l'abri leurs navires, de faible tirant d'eau, comme les Chebeks, les Galères, bricks ou Galiotes, puissamment armés, montés par les " Baharias ", marins maures, turcs ou renégats de toutes origines se livrant à la piraterie en haute mer ainsi qu'aux terribles " razzias ", qui faisaient trembler tout le littoral méditerranéen !

Dès 1510, l'émir Khair-ed-Din, plus connu sous le nom de Barberousse, fit construire une jetée reliant l'îlot su " Pénon " à la terre ferme au pied de la casbah. Cette jetée (la première), sur laquelle on construira un solide bâtiment, genre forteresse , qui subsiste encore de nos jours, isolera la darse de la pleine mer à l'ouest.

Au début de la présence française, les liaisons maritimes entry le France et Alger s'intensifièrent, alors que la darse ne correspondait;âux'' dimensions des navires qui assuraient ce service. Aussi, l'extension de cette darse fut envisagée ainsi que la construction d'un port en eau profonde .

Les études ne manquèrent pas. C'est sur les plans de l'ingénieur hydrographe Lieussou, aidé de l'ingénieur Poirel, qu'une digue désignée : Jetée du Nord, fut projetée. Elle s'étendra du Nord-Est en direction des collines de Mustapha et protègera le premier plan d'eau du futur port d'Alger, plan d'eau qui sera désigné : Bassin de l'Amirauté. Par la suite, au fil des ans, les travaux se poursuivront par l'adjonction de la Jetée Est (ce que les vieux marins appelaient : Môle Cassé !) suivie, plus tard, des jetées Butavand et Mustapha qui protègeront l'ensemble du bassin de l'arrière port de l'Agha !

Toutes ces digues, qui feront barrage aux lames venant du large, devront faire appel à des techniques nouvelles et à des matériaux qui restent à concevoir.

Il fallait aussi établir la direction des vents et des courants marins ainsi que la circulation des eaux dans cette partie de la Méditerranée.

C'est à quoi se consacrèrent des hommes de grande compétence comme les ingénieurs Lieusou, Poirel, de Marquet, gay, Chasseriau, le précurseur océanographe Georges Aimé, les géographes Mac-Carthy, PierreEmile Watier, Jérôme Tarting, le chercheur Louis Boutan et bien d'autres, responsables de ce projet.

L'Algérie présente la particularité d'être située sur une côte rectiligne, balayée tout au long de son rivage, bien souvent par les vents de " Noroît " et d'Est .

A propos du temps, le professeur A. Gruvel du Museum d'histoire naturelle écrira en 1926 : " La circulation des eaux de la Méditerranée était encore mal connue dans ses détails . Elle diffère du reste entre les deux bassins occidental et oriental et se complique de courants secondaires dus à des causes difficiles à préciser. Sur la côte algérienne les vents d'Ouest sont des vents forts, souvent des tempêtes , ceux d'Est parfois assez violents aussi sont au contraire des vents de beau temps et de ciel clair ; Les plus fortes tempêtes, celles qui soulèvent des vagues énormes et rendent la circulation sur la côte dangereuse et parfois impossible, même pour les grands bateaux, sont dues à des vents de nord-ouest qui halent vers la nord " ;

Du fait de ces éléments, dès le début de la colonisation, l'ampleur des travaux pour la construction de ports en eaux profondes sur l'ensemble des côtes algériennes, en commençant par celui d'Alger, s'avéra à l'époque une tâche très difficile et dangereuse. Dangereuse, du fait de la répétition constante des terribles tempêtes qui assaillirent le port d'Alger , causant de gros dégâts aux jetées protectrices à l'extérieur et aux quais et plans d'eaux de l'intérieur, où souvent des cargos rompant leurs amarres se retrouvaient en difficulté.

Beaucoup d'Algérois de notre génération peuvent encore se souvenir des grosses tempêtes de décembre 1930, celle aussi de décembre 1931 et la meurtrière de février 1934, où un chaland poseur de blocs de la compagnie Schneider, fut emporté alors qu'il était en travaux à l'extérieur du port six hommes à bord . Nous reviendrons plus en détails sur la tempête du 18 février 1939, où en service d'assistance du paquebot italien " OCEANIA " en partance du port d'Alger, le petit remorqueur " Provençal 8 " fit naufrage, entraînant dans la mort son capitaine !

Mais n'oublions surtout pas que le FLEAU qui marqua le port d'Alger fut de tous temps : le terrible RESSAC !

Pour combattre ce phénomène, de nombreuses études furent entreprises. D'abord par Georges Aimé en 1845, puis par Jérôme Tarting, qui furent à l'origine de plusieurs propositions afin que ne se dégrade la renommée du port qui en 1930 n'offrait encore qu'un piètre abri face à la houle et au vent engendrant le ressac à l'intérieur du port. C'était véritablement une plaie. Car en dépit des incontestables avantages conférés par sa situation entre Gibraltar et Port-Saïd, la qualité de son eau et celle des services offerts par les shipchandlers, sans oublier les charmes d'un séjour à Alger, le port perdit un peu de son crédit.

Concernant le ressac, le temps aidant, on ira même jusqu'à poursuivre des recherches expérimentales en 1946 au laboratoire central d'hydraulique de Maisons-Alfort (Seine) sur un modèle réduit du port d'Alger mesurant 30 mètres sur 40, agité par des vagues miniatures venant frapper les ouvrages avec une force semblable en proportion à celle de la mer. L'exécution de la maquette coûtera, à l'époque, plusieurs millions de francs !

Malgré les améliorations apportées par ces études, avait.on pour autant vaincu le ressac ? Rien n'est moins sûr et les témoignage concordent. A Alger en 1947-48, les jours de mauvais temps, du fait du ressac (toujours lui) les chalutiers amarrés au quai Jérôme Tarting (ou de la Pêcherie) s'empressaient de rejoindre l'arrière port de l'Agha pour se mettre à l'abri !

Quoi que ce ne soit pas le but de ce petit mémoire, nous consacrerons quelques lignes aux dégâts occasionnés dans le port d'Alger par les effets du ressac. D'abord, pour réduire ces effets, on décidera le prolongement de 190 mètres de la jetée Nord, adjonction appelée plus tard, Pierre Emile Watier, avant toute extension des installations commerciales des terre-pleins des quais.

LES DESASTRES DU RESSAC

A chaque " bafagne " d'Est ou de Nord-Ouest, les quais soumis aux assauts des lames étaient labourés, des bollards arrachés, des amarres se rompaient. En raison de ce ressac, les opérations d'embarquement et de débarquement étaient rendues difficiles, en moyenne pendant 20 jours par an et plus ou moins gènées pendant 50 jours, entraînant pour le chargeur, le paiement à l'armateur de coûteuses surestaries.

Plus graves encore, les manoeuvres des portes des deux bassins de radoub étaient, 70 jours par an, rendues dangereuses, voire impossible avec toutes les conséquences qui en découlaient en cas d'avarie ou de voie d'eau survenant à bord d'un vapeur.

Au cours des tempêtes des 17 - 18 et 19 décembre 1930, les lames assaillaient et franchissaient la jetée du Nord, déferlant sur les chalands amarrés à quelques mètres, balayant à la mer leur chargement de charbon. En pleine nuit du 18 au 19, les cargos " Stella ", " Vénus ", " Tensift ", " Saumur " et " Aïn-Mokra " ayant rompu leurs amarres, se trouvaient en difficultés. Le paquebot " El-Biar " rompant ses amarres était drossé contre les vapeurs " San Francisco di Paola " et " Aïn-Bessem ". Le chalutier " Ratonneau " après avoir été mis au mouillage en sécurité près de l'entrée du port, dérivait vers la pleine mer avant d'être drossé sur la jetée de Mustapha, où il se brisa. De nombreux chalands à la dérive avec leur chargement, se fracassaient contre le môle Sud.

Le 19 décembre 1930, nouvel assaut des vagues mettant en danger des vies humaines et des installations maritimes. Aux effets de la houle, s'engouffrant violemment entre les blocs de la jetée Nord, s'ajoutaient ceux des lames contournant l'extrémité du musoir Nord ainsi que celles qui étaient réfléchies par la branche du brise-lames de la jetée de Mustapha en construction (plan en annexe des lames et du ressac)

Le paquebot " Président Dal Diaz " de la compagnie générale transatlantique, accosté quai d'Agde subissait des avaries sur son tribord.

Amarrés sur les quais du grand môle de l'Agha, " l'Arlésienne ", le " Sainte Maxime ", le " Saint Tropez ", le " Médéa " et le " Galéa " étaient atteints dans leurs oeuvres vives, hélices cassées, gouvernails faussés, avaries sur la coque. La houle pénétrait dans le port jusque dans la darse de l'Amirauté, précipitant de nombreuses embarcations les unes contre les autres. La passerelle du service de la santé maritime était arrachée. A l'extrémité du môle El-Djefna, le quai d'Arles était défoncé par des lames. Les mouvements des courriers étaient retardés ou supprimés en raison des risques présentés lors de leur appareillage.

LA TEMPETE DE DECEMBRE 1931

Les 10,11,12 et 13 décembre 1931, un coup de tabac survenant un an après les désastres de 1930, les travaux de renforcement de la jetée du Nord n'étaient guère plus avancés.


Carte-photo écrite : " Une photo de la tempête subie le samedi à 15 heures, le 12 décembre 1931.Avec une grosse bisette» Adressée à Paris. Photo P.Raynal
Carte-photo écrite : " Une photo de la tempête subie le samedi à 15 heures, le 12 décembre 1931.Avec une grosse bisette» Adressée à Paris. Photo P.Raynal (pas trouvé sur l'annuaire 1961)



Alors que " l'Empress of Britain " était en approche du port, la jetée Nord était assaillie par des vagues qui projetaient des tonnes d'eau sur les chalands amarrés à l'intérieur du bassin. En raison de l'état de la mer, le " liner " de la Cunard, manoeuvrait en rade et aussitôt, annulant son escale, reprenait le large.

La houle réfléchie des brise-lames du bassin de Mustapha s'engouffrait violemment dans les vides laissés entre les blocs artificiels rectangulaires des jetées Nord et Est. Plus tard en 1949, ces blocs seront remplacés par des tétrapodes.

La houle d'un mètre de creux se faisait sentir obliquement tout au long de la jetée Est jusqu'à celle du Nord où rencontrant les courants qui pivotaient autour de son musoir et se répercutaient violemment jusqu'au fond de la vieille darse turque, causant la perte de nombreuses chaloupes.

Depuis les bassins de radoub devant les hangars-abris, quai d'Auray, sur celui de la " Petite douane ", des hommes devaient s'accrocher aux bâtiments pour ne pas être emportés.

Ce très gros temps d'une exceptionnelle violence, causa sur le plan d'eau du port la perte de 28 chalands avec leurs avaries sur les 450 en service.

Les cargos " Laurent Schiaffino ", " Morse " et " Sainte Maxime " drossés contre les quais à la suite de la rupture de leurs aussières eurent des brèches sur leurs coques. Ils ne purent se maintenir à flot que grâce à leurs pompes de cales et à celles des remorqueurs qui se portèrent aussitôt à leurs secours. Des capitaines d'autres navires se jugeant plus en sécurité en mer, appareillèrent en hâte pour se mettre à la cape au large et à l'abri.

Armateurs et importateurs de charbon subirent des pertes très importantes. Malgré une longue procédure, les sociétés sinistrées (plus de 12) ne furent pas indemnisées. Un port étant un havre de sécurité par nature, les chalands et leur cargaison n'y étaient pas assurés.

Les tempêtes précitées causèrent de gros dégâts aux installations maritimes, chalands, appontements et navires. Encore convient il de se souvenir des membres du personnel du port, enlevés par les lames ou noyés dans les soutes d'un cargo ou d'un remorqueur, sans oublier les pilotes du port, comme Monsieur Gustave Martin qui périt noyé en rade par gros temps de Nord-Est, et les six ouvriers de l'entreprise Schneider emportés sur leur chaland, alors qu'ils étaient en travaux à l'extérieur du port lors de la tempête de février 1934.

Au cours du temps, d'autres tempêtes frapperont ce port et ses installations presque chaque hiver. Mais des hommes acharnés à sa défense ne baisseront jamais les bras. Des études se poursuivront et par la suite, la jetée du Nord sera prolongée et incurvée afin de mieux protéger l'entrée principale du port. La jetée de Mustapha sera aménagée selon le profil décidé à la suite de la tempête du 3 février 1934. Pour ces hommes, un seul but à combattre : le RESSAC !

Alger, la darse de l'Amirauté en 1936 : la jetée Khair-ed-Din, le Sport nautique, le môle Lyvois (la Santé), le môle de pêche (avec la halle de vente)
Alger, la darse de l'Amirauté en 1936 : la jetée Khair-ed-Din, le Sport nautique, le môle Lyvois (la Santé), le môle de pêche (avec la halle de vente)
le port d'Alger en 1934
le port d'Alger en 1934 (160ko)

11 et 12 décembre 1931. La mer en furie contre les défenses du port d'Alger.
11 et 12 décembre 1931. La mer en furie contre les défenses du port d'Alger.
1934 : dégâts sur les quais
1934 : dégâts sur les quais
934 : massacre sur les plans d'eau
1934 : massacre sur les plans d'eau
1934 : dégâts sur les quais
1934 : dégâts sur les quais
       
"Furet II",
Provençal 8",
Les remorqueurs "Furet II", par babord avant , et "Provençal 8", par tribord avant, assistant à la sortie de l'"Océania" dans la nuit du 18 février 1939.Le "Provençal 8" coulé en assistant la sortie du paquebot italien "Océania", entrainant dans la mort le patron-borneur, Gaëtan SORRENTINO, la nuit du 18 février 1939.(voir ci-dessous, copie du P.V officiel relatant le naufrage du "Provençal 8".

Page 1 du PV
Page 1 du PV
Page 2 du PV
Page 2 du PV

APPENDICE " IN MEMORIAM "

Gaétan SORRENTINO
Gaétan SORRENTINO

A la mémoire de Gaétan SORRENTINO, patron-borneur, victime du naufrage du remorqueur " PROVENCAL 8 " qu'il commandait à Alger dans la nuit du 18 Février 1939.
Qu'il repose en paix.

ERRATUM

Les auteurs de ce petit Mémoire adressent leurs sincères excuses à la famille de Gaétan SORRENTINO, pour l'erreur qu'ils ont commise en situant dans un précédent ouvrage, le naufrage du " PRROVENCAL 8 " à la date du 3 Février 1934, alors que ce drame a eu lieu dans la nuit du 18 Février 1939 à Alger, comme le prouve le document irréfutable que détient Madame Louise SENACH, fille de ce valeureux marin.

Victime de son devoir à la barre du remorqueur qu'il commandait, àgé de 45 ans, Gaétan SORRENTINO laissera une épouse éplorée et trois enfants en bas àge. Ce drame souleva une émotion considérable sur le port d'Alger et dans le quartier de Bab-el-Oued où résidait la famille ; plus particulièrement lorsque Monseigneur LEYNAUD, archevêque d'Alger vint au domicile mortuaire donner l'absoute et réconforter la famille.

REMERCIEMENTS

Les auteurs tiennent à exprimer leurs sentiments de bien vive gratitude à toutes les personnes qui ont bien voulu compléter leurs souvenirs personnels avec de précieux témoignages, ainsi qu'à ceux qui, spontanément, ont mis à disposition leurs archives sur des évènements douloureux de l'histoire du port d'Alger, du temps de la présence française en Algérie.

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES :

- Yves LAYE " le port d'Alger " imprimerie L. Rives, 8 rue Marceau - Alger.
- Jean LARRAS, directeur du port d'Alger, " L'équipement du nouveau môle du bassin du vieux port d'Alger en 1947 " et " Les causes de deux catastrophes " Echo d'Alger, édition du 11.08.1949.
- Edgar SCOTTI " Le port d'Alger après la seconde guerre mondiale " ed.
L'Algérianiste n°54 Juin 1991.
" Alger capitale de la France en guerre " ed. L'Algérianiste n°53 Mars 1991.
" Bou Haroun d'autrefois "
- M. BALENSI, ingénieur en chef, rapport de 1927.
- Charles DELVERT " Le port d'Alger " 1923. Dunod éditeur. Paris.
- Gérard CRESPO " Les Italiens en Algérie ".
" L'Echo d'Alger " du 7 Août 1943.
- Dr. Georges DUBOUCHER " l'Algérie 1870-1930 " ed. Milan. Toulouse.
- Joseph PALOMBA " Hommage aux scaphandriers " Avril 2000 et " En bas la Marine ".

NOTES :

Les auteurs remercient bien vivement le Docteur Georges DUBOUCHER et Messieurs Claude ARLES, Jacques THIBAUT, Jean de THOISY, sans oublier Monsieur Jérôme TARTING, ingénieur en chef du port, Président de la Commission du port d'Alger, Monsieur Pierre-Emile WATIER, directeur des ports maritimes du Ministère des travaux publiques, Monsieur BUTAVAND, ingénieur du port, Monsieur Oscar MAC-CARTHY, géographe ainsi que Messieurs. Georges AIME et Anglès d'AURIAC pour leurs luttes continues contre le terrible RESSAC qui fut la " plaie " du beau port d'Alger.

Octobre 2007
Edgar SCOTT I / Joseph PALOMBA.