Rue de Constantine/rue Colonna d'Ornano/rue Alfred Lelluch
Remarques, compléments
par et de Joachim Guimet-Rubini

 


mise sur site : février 2014

Ko
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:« Suite aux travaux en cours de généalogie et biographie de Pierre André Guimet 1820-1874 (infirmier à l'Hôpital civil de Mustapha) et de son fils par ailleurs mon arrière grand père maternel c'est-à-dire Alexandre Joachim Guimet (bourrelier à la bourrellerie Bonnefoy : atelier au 107, rue de Constantine et magasin au 23, rue de Constantine = 22, rue Colonna D'Ornano dès 1945), en consultant une série de plan d'Alger de 1875 à 1960 - (le plan de 1875 est un plan cartographique d'Alger et ses très vastes environs avec les noms des titulaires de concessions de terres) -, je me permets de vous communiquer ce que j'ai découvert sur l'historique de la rue de Constantine :

- De 1888 et de avant 1903, la rue de Constantine se trouvait sur le front de mer. Le n° 129 se trouvait au niveau de l’entrée de l’Hôpital civil, plus précisément aux Poids Publics et elle débutait Place de la République
- En 1935, toujours dans le même sens, cette rue fut transformée rue Sadi Carnot (tronçon) au niveau de la place du Général Sarail, rue Charras, boulevard Michelet (tronçon), boulevard Bugeaud, rue de Constantine).
-
En 1943 (note du Déjanté: pas d'après le plan ci-dessus), la partie restante de la rue de Constantine fut rebaptisée rue Colonel Colonna D’Ornano et rue Alfred Lelluch.

Grâce aux archives familiales, à vos documents et aux archives de l'État-Civil d'Outre-Mer, j'ai pu localiser les différents domiciles d'Alexandre Joachim Guimet ainsi que ses trajets domicile-travail d'une part à pied et d'autre part en tramway. Toujours grâce aux archives de l'État civil, j'ai pu reconstituer l'emploi du temps professionnel de Pierre André en tant que témoin cité dans les actes de décès et de naissance pour la période de 1858 à 1864.

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Courrier du 22 février 2014

En complément à “l’annuaire de la rue de Constantine en 1900” que vous avez insérée sur votre site,
voici la “généalogie” des bourrelleries Robinot-Bertrand au 21, rue de Constantine et Brès au 23 de la même rue.

En 1918, avant sa mort, mon arrière-grand-père Alexandre-Joachim GUIMET travaillait dans la bourrellerie Brès ainsi que Auguste François Bonnefoy en tant que comptable.

Au 23, rue de Constantine, il y avait aussi le Café du Palmier qui devint plus tard le restaurant du Palmier puis Café de la Rotonde. En 1918, le restaurant du Palmier était déjà

au 1, boulevard Bugeaud. Il fallait simplement traverser la rue ! Le Café de la Retonde s’installa en lieu et place de l’ancien restaurant du Palmier à un détail près que le bâtiment

du 23, rue de Constantine fut détruit pour laisser place à un bâtiment bien plus moderne de 5 étages et non de 3 étages

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en 1880, bourrellerie Sans au 23, rue de Constantine et bourrellerie Robinot-Bertrand au 21

en 1892 Sans acheté par Robinot-Bertrand qui s’installe au 23 ==> plus qu’une seule bourrellerie

en 1900, bourrellerie Robinot-Bertrand au 23 et bourrellerie Brès au 22 ==> deux bourrelleries

en 1922, Robinot-Bertrand acheté par Brès qui reste au 22 ==> plus qu’une seule bourrellerie

en 1935 Brès acheté par bourrellerie Bonnefoy ==> plus qu’une seule bourrellerie

en 1937, la rue de Constantine devint rue Colonna d’Ornano

en 1957, ma mère Colette (petite-fille de Alexandre-Joachim), stagiaire aux écritures chez Bonnefoy tenue par le André Alfred Bonnefoy, fils de Auguste André Bonnefoy. Alexandre-Joachim

GUIMET fut le parrain de André Alfred Bonnefoy. C’est pour cette raison que la mémoire de Alexandre-Joachim GUIMET perdura dans la bourrellerie Bonnefoy 32 ans plus tard.

Actuellement, il y a une maroquinerie au 22, rue des frères Amrouche (ex rue Colonna d’Ornano)